La Vibralisation de Pascale nous amène dans une véritable instruction par la Lumière UNE.
Pascale est une personne qui traverse un état de déséquilibre profond au niveau de son corps et surtout de son foie, et qui chemine vers ce Qui elle est, en accueillant totalement son expérience très éprouvante.
Cette séance s’est faite essentiellement à distance, et j’ai été accompagnée par son père, également prêt à entrer dans le champ de l’inconnu.
Voici donc cette séance qui nous a transformés et qui va continuer à agir pour chaque lecteur qui ouvrira simplement son cœur en lisant ces mots.
Je suis en connexion avec son champ d’énergie, une sensation un peu de flottement, une sensation de pas là au niveau du champ global, peut-être du fait que Pascale prend de la morphine pour alléger les douleurs.
Il y une sensation de faiblesse au niveau de l’énergie également, et j’ai une tendance à glisser vers le bas du corps. Il n’y a plus vraiment de pensées au niveau du haut du corps, de contrôle, d’action.
Ça se laisse aller…
Et du coup mon attention se porte vers le bas du corps…
Naturellement, je ressens le besoin d’être accompagnée par toutes les Présences de Lumière, et d’être guidée dans cette rencontre vibrale…
Nous nous positionnons au niveau des surrénales, dans le dos. Pascale semble comme assise dans un fauteuil, pas abattue mais un peu sans ressort. Ça ne fait plus rien, c’est un état d’arrêt, de non mouvement. Ce n’est pas inconfortable, ce n’est pas désagréable, mais il y a un « mais » dans cet arrêt…
Il n’y a plus ce haut du corps qui pourrait nous amener un désir, une envie, un élan, et en même temps la circulation ne se fait plus dans le bas du corps… À ce niveau des surrénales, nous sommes dans cet arrêt, dans ce fauteuil…
Cela nous montre une bande horizontale tel un plancher qui ne permet pas la libre circulation.
Nous ne savons pas si c’est bien ou pas bien, si c’est juste ou pas juste, nous accueillons.
Nous restons présents…
Une Énergie Mariale
Une lumière commence à venir, peut-être une Présence sans forme qui vient d’en haut et qui se dirige vers Pascale.
C’est une Présence qui porte l’énergie Mariale.
Ce n’est pas une Présence intra-terre ou extra-terre, non c’est quelque chose qui est encore au-delà, et qui englobe. C’est quelque chose qui est en dehors d’une dimension quelconque, car les intra-terre et les extra-terre sont dans une dimension. Toutes ces dimensions constituent des lignes de temps, des histoires…
Mais là c’est quelque chose en amont comme une Mère qui entoure, qui englobe par son Amour tous ses enfants multiples. C’est la sensation d’une énergie excessivement douce, à la fois pleine, aimante, et qui va au-delà même de la forme que porte Pascale.
C’est un contact qui touche son Âme et ce qu’elle est dans sa pure vibration, et en même temps Pascale peut toucher cette reconnaissance qu’elle est elle-même cette énergie là, puisqu’aucune Présence, aucune force n’est purement à l’extérieur de nous.
Donc c’est une reconnexion…
C’est une grâce qui descend sur Pascale…
Comme si nos demandes ont été entendues. Nous avons tous eu cette foi d’appeler, de demander, de se relier et d’interagir avec ce plan de l’invisible, qui à ce moment là, répond, parce que nous sommes prêts.
À partir du moment où nous faisons une demande via le cœur, nous déléguons et nous lâchons le contrôle. C’est au-delà de ce que nous pouvons gérer, nous n’avons plus de choix que de tout remettre à cette Lumière infinie.
À ce niveau nous sommes prêts à recevoir, et à ce moment là la Lumière descend, quel que soit la forme… Et cette Lumière fait ce qu’elle a à faire, tout simplement…
Il n’y a aucune limite, aucun frein et cela va à une vitesse vertigineuse. Il n’y a rien de compliqué pour la Lumière…
Le voyage continue
Cette Lumière nous permet maintenant de percevoir plus loin.
Et nous nous dirigeons dans le ventre pour juste être présents à la sensation d’un plein souffrant, à la sensation même de chagrin…
Une action vibratoire se déroule beaucoup dans le bas du dos à cet instant…
Ça se libère, des émotions de colère se libèrent également, des vieilles mémoires, des vieilles empreintes, un sentiment d’impuissance…
La colonne vertébrale semble fragile dans cette vision intérieure, et le flux d’énergie ne circule pas jusqu’à son bas.
Nous sommes juste les accompagnants de ce qui est…
Puis nous remontons le long de cette colonne jusqu’à la zone du champ du cœur.
C’est comme si une information venait vers Pascale pour lui dire :
« Tu n’y es pour rien, laisse toi couler pour t’aimer encore plus »…
À cet instant, dans cette zone, il y a une peur infinie… Qui crée une grande pression au niveau du cœur…
Et ça se libère, avec toutes les émotions liées, que ce soit l’impuissance ou le sentiment d’injustice, cette résistance à accepter la situation, même s’il y a plein de bonne volonté à l’accepter.
Dans la vibralisation de Pascale, ce que l’on est en train de m’expliquer, c’est que nous ne sommes même pas responsables de résister, parce qu’en fait le corps physique carboné a été créé pour survivre et donc il résiste et ne peut aucunement s’abandonner à la situation si cette dernière est insécurisante.
D’où l’importance de comprendre la nécessité de se dés identifier de la croyance d’être essentiellement un personnage avec un corps.
Cela permet de passer au-delà des réactions automatiques liées au corps.
Le chakra du cœur s’active très fortement, et tellement que le lieu physique où nous sommes, se met à craquer !…
Et ça lâche…
Nous redescendons dans le bas du corps, et nous sentons qu’il y a déjà plus d’acceptation de ce corps. Bien évidemment, il y avait comme une partie de Pascale qui ne pouvait même plus accepter ce corps. C’est inconscient, mais il y avait comme un rejet de ce corps.
Nous sommes nos propres guérisseurs
Nous pouvons faire tous les soins que nous voulons, mais si la personne est en lutte contre son corps, même inconsciemment, ce n’est pas un agent extérieur qui va pouvoir résoudre quoi que ce soit.
Que nous le voulions ou non, Pascale est devant la grande étape de l’initiation de l’accueil total de tout ce qui est, même l’accueil de cette illusion de ce corps, de cette histoire.
S’abandonner sans plus rien contrôler de l’expérience, ce n’est pas rien comme initiation !
Ce bas du corps se remet en action maintenant…
Et ça lâche…
Un léger mouvement revient dans ce ventre, mais encore très peu d’amour.
Et nous restons présents et nous laissons ce ventre revenir de lui-même à la Vie, et reprendre contact avec le reste du corps…
Cette attention présente touche les cellules et nous ressentons même la douleur physique.
Doucement, nous sentons une réunification, une homogénéisation.
Nous retrouvons Pascale dans son rayonnement lumineux, solaire, avec son sourire qui était totalement absent en début de séance.
Elle reprend davantage son pouvoir, le bon pouvoir…
La Lumière est plus activée dans le haut du corps, de la tête au cœur, alors que le bas reste un peu sombre, comme si cette Lumière du haut ne peut pas descendre en bas, le plexus solaire se présentant tel un plancher infranchissable.
Mais l’ensemble est plus calme et plus dégagé par rapport à tout à l’heure.
Je demande de nouveau intérieurement de l’aide au plan invisible, et j’éternue !
Ce qui me dit « Nous sommes là »… 🙂 … Et je laisse venir ce qui vient…
Je perçois comme des petits blocs ou des petits rectangles métalliques, étonnamment pas sur le foie, mais sur la zone du pancréas.
Pour que le foie puisse repartir dans ses fonctions énergétiques, il y a une libération à faire avant ailleurs peut-être. Cela se passe comme une opération éthérique, une chirurgie telle la méthode des guérisseurs philippins.
La rate, proche du pancréas, mémorise toutes les expériences douloureuses du passé.
Un apprentissage
En même temps j’ai l’impression que les Présences nous laissent faire.
De plus en plus elles nous disent que tout ce qu’elles sont capables de faire, nous sommes aussi capables de le faire, et elles nous amènent à ce que nous ayons davantage confiance en nous.
Elles nous accompagnent un peu comme des enseignants et elles nous laissent faire.
Nous sommes tels des stagiaires chirurgiens énergétiques ! Sourire…
Nous aurions tendance à leur dire « Pas très sympas les copains » ! Mais ce cap est important à passer.
La zone réagit juste par notre Présence à ce qu’elle est.
Ces petits blocs ressemblent aussi à des implants, en tout cas à ce genre de choses…
Ce sont les parties de nous les plus originelles qui œuvrent…
En même temps que la zone semble se libérer, ça ramène les lignes de temps qui ont créé ces structures.
Au travers de son corps, Pascale est en train de vivre cette possibilité de dissoudre toutes ses lignes de temps créées au cours de multiples expériences, qui la séparent de son Origine. C’est une partie d’elle qui a demandé de les réabsorber dans le cœur, de réabsorber toutes ses autres parties éloignées d’elle-même, parce que c’est son ultime rendez-vous avec elle.
Elle a pleinement envie d’être libre, et il y a quelque part trop de valises, trop de lignes de temps qui la mettaient dans une zone de combat et de contrôle pour la survie.
Ça tiraille toujours…
Nous sommes juste présents sans vouloir enlever quoi que ce soit, mais juste être là…
Le fait d’être là sans rien vouloir faire, permet la dissolution des lignes de temps.
S’il y a un moindre désir, une moindre volonté de faire, ça ne marche pas, ça recrée d’autres lignes de temps !
Beaucoup d’images passent, des lignes de temps liées à son enfance et à sa relation avec sa mère et son père…
La rate à tout mémorisé… La rate capte l’énergie du soleil et la retransmet au corps. Si la rate est entravée, alors il n’y a que très peu d’énergie vitale.
Ça lâche petit à petit… Toute son histoire défile et s’abandonne à ce qui est.
Des petits canaux au niveau de l’estomac s’ouvrent.
L’Énergie divine illimitée
Dans la vibralisation de Pascale, les Présences me disent qu’il ne faut pas avoir peur pour le corps, ce n’est pas le corps qui a un problème et ça n’a jamais été lui ! Le problème est la relation avec nous-mêmes !
Une relation avec nous-mêmes qui nous a projetés à l’extérieur.
Le corps a été conçu pour vivre l’unité, pour retrouver l’unité quand celle-ci n’est plus.
Le corps, ou la projection de ce corps a été conçu d’une façon archontique, mais pour concevoir quoi que ce soit dans ce Grand Univers, il faut bien utiliser la substance divine !
Et la substance divine est UNE, elle ne peut pas être « deux ».
Donc même si le corps est une illusion, cela a été crée par l’énergie divine qui peut tout car Elle est illimitée.
Je me sens moi-même « mâchouillée » au niveau du plexus solaire, de mes mains et de tout mon être, qui est en fait le mâchouillage chez Pascale qui est en train de lâcher prise et de se recentrer.
Nous revenons davantage au centre du plexus solaire.
La rate a été libérée et les Présences tels des guides, sont très contentes de notre travail, et elles nous disent que ce n’est pas fini.
Et voilà que ça re-craque dans la maison ! Sourire… Elles y vont fort dans le dialogue…
Nous avons maintenant des formes de tubules à rencontrer derrière le foie, dans le dos. Là il y a un engorgement.
En même temps, nous entendons nos propres doutes.
Ces Présences ou ces guides sont en train de nous projeter ces doutes comme « Nous pouvons faire quelque chose ? Ça peut aider et avoir un impact ? ».
Nous sommes en train d’être enseignés en même temps, merci Pascale !
Ces guides sont en train de nous montrer nos propres limitations, nos propres croyances que nous ne pouvons pas agir sur la matière. Et ces doutes viennent qu’en nous-mêmes, il reste des croyances en un monde extérieur. Il est très intéressant de percevoir cela.
Ils nous amènent à ce que dans cette vision présente, nous nous sentions encore plus UN avec cette partie de Pascale que nous observons.
Nous ne sommes pas en train de guérir quelque chose à l’extérieur de nous, parce que nos yeux nous projettent une personne devant nous, un foie devant nous, des tubes devant nous.
« Tout cela n’existe pas », puisque tout cela est une forme que prend l’énergie à l’intérieur de nous.
Nous faisons une grande compréhension quantique, qui ne peut passer par le cerveau binaire qui lui, ne peut aucunement percevoir ce champ.
En étant présent à ce qu’il se passe dans la vibralisation de Pascale, nous sommes en même temps en train de vivre ce que nous percevons dans cette compréhension au-delà de la pensée… Et nous sommes en train de nous faire confiance également, pour ne pas entraver le processus.
Encore une fois, aucun vouloir réparer quoi que ce soit…
C’est comme si c’était la zone qui décidait de revenir elle-même à la Vie, parce que c’est nous-mêmes qui ne la séparons plus de ce qu’elle est…
Les guides sourient et disent « Oui c’est à peu près ça, vous vous approchez… »
Excellent ! Ils ont beaucoup d’humour…
L’Unité Quantique
Nous sommes toujours dans la zone qui n’est pas, dans notre vision, comme une zone extérieure à nous, et nous pourrions dire plutôt « Nous ne sommes pas complètement libérés », et là les guides disent « Là vous avez compris ! »
Donc nous n’allons pas dire « Pascale n’est pas totalement libérée », mais « Nous ne sommes pas totalement libérés », et cela va nous aider…
Nous œuvrons totalement dans l’Unité Quantique. Si nous œuvrons dans la moindre séparation, c’est un jeu égotique archontique.
Les guides nous disent « Installez-vous d’abord dans l’Unité, et là tout peut s’opérer ».
L’Unité remet une cohérence, sans que nous ayons à faire quoi que ce soit…
Donc percevoir et ressentir cette partie là, comme une partie de nous-mêmes, c’est-à-dire de se pardonner soi-même de ne pas s’être aimé…
À cet instant, les guides ne sont plus à l’extérieur de nous, mais ils sont en nous.
Dans cette compréhension de l’Unité Quantique, tout est UN…
Nous pourrions dire que nous n’avons presque plus besoin d’eux, puisque nous sommes eux et ils sont nous. Nous sommes nos propres guides.
Nous sommes nos propres dragons, nous sommes nos propres intra-terre, nous sommes nos propres extra terre…
Et l’image qui se projette devant nous, est comme une aide qui nous montre où nous en sommes. C’est la façon dont notre conscience a trouvé pour nous délivrer les messages, pour arriver à nous orienter dans ce plan de l’infini.
Le côté droit de Pascale se détend, notre côté droit…
Il n’y a plus d’individualité à ce niveau là.
Les flux descendent et s’ouvrent en même temps, toute la partie du foie, et nous restons présents à cette vibration d’amour essentiellement…
Le piège est que dès que nous avons une perception, nous avons envie d’agir.
La perception est dangereuse, car elle nous tire à l’extérieur de nous-mêmes, dans la relation avec l’extérieur. La perception nous amène à décrire une réalité. Les perceptions sont des pièges finalement, car elles sont connectées au corps, et à la conscience qui est connectée au corps, et n’oublions pas que le corps est l’illusion.
C’est juste ÊTRE spectateur de la perception, mais ne pas s’identifier à la perception.
La perception, comme l’émotion, ne nous appartiennent pas puisque nous ne sommes rien, puisque nous n’avons pas de forme à l’origine.
La perception reste une vibration connectée à la dualité, à la relation avec l’extérieur.
Le grand vertige
Et là où nous nous dirigeons petit à petit, ainsi que le monde entier par interaction, vers le détachement de la perception. Il n’y a plus de perception, nous ne savons plus ce qu’il y a, tel un champ totalement inconnu.
Nous sommes dans l’état du vide quantique de l’Absolu. Nous retournons à l’Absolu où il n’y a pas de perception… Il n’y a plus de perception, puisqu’il n’y a plus de personnage, puisque le personnage n’a jamais existé. Quel vertige !
« Nous sommes » et il n’y a rien à mettre derrière.
Il y a de la Lumière partout de la tête aux pieds maintenant, et il n’y a presque plus de forme…
Nous avons la sensation d’être à la fois remplis d’une Présence et la Présence elle-même…
Le retour à l’Origine, l’auto Création, l’auto Amour…
Doucement, nous revenons dans le ici et maintenant, dans une conscience plus ordinaire, tout en sachant que cette Unité se perdure tout le temps…
Cela peut prendre un peu de temps car cette Présence à soi, à nous, est tellement présente…
Gratitude à Pascale et à son père, gratitude à tous et à chacun.
Catherine, une Présence.
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